Fake news, Fake presse, Fake partout, vérité
nulle part …ou presque
Vu
les titres de Presse sur le rapport Folz sur l’EPR, il m’a semblé utile de
prendre un certain contrepoint, clin
d’œil à une revue très utile
Une
perte de compétences généralisée » : le rapport Folz dresse un bilan sévère de
l’« échec » de l’EPR de Flamanville (Le
Monde)
Nucléaire
: le diagnostic sans concession de l'« échec » de la filière EPR d'EDF ( Les Echos)
Rapport
Folz sur l'EPR de Flamanville : accabler EDF pour mieux le restructurer ?
Le
rapport Folz sur l’EPR de Flamanville décrit une cascade consternante, durant
plus de vingt ans, de mauvaises décisions de la part d’EDF (Ouest France)
Le
rapport qui accable la filière nucléaire française (Le Figaro)
Bon,
les pire, c’est la presse nationale. Non, Le
Monde et Les Echos, le rapport
Folz ne fait pas que dresser un bilan sévère de l’échec de l’EPR, mais indique
aussi les leçons qui en ont été tirées et est plutôt positif pour l’avenir, et
il eut été bon de le refléter dans le titre ; non, Le Figaro, le rapport Folz n’accable pas qu’EDF et la filière
nucléaire française, mais aussi et
surtout un certain nombre de décisions politiques aberrantes. Le rapport Folz met au moins en cause
autant la politique des différents gouvernement et ministres de l’énergie (
qui n’existent pas, d’ailleurs, et c’est peut-être le problème, donc des
ministres responsables de l’énergie) qu’EDF lui-même.
A
se demander si cette presse n’est pas de moins en moins nationale, et de plus
en plus aux mains des lobbies libéraux qui se font un pognon de dingue avec les
éoliennes ( mais peu avec le nucléaire, destiné à rester fortement public et
service public).
Allez, quand même,
une vraie mention d’honneur à BFM
pour EPR: le nucléaire, un investissement durable https://www.bfmtv.com/economie/replay-emissions/epr-le-nucleaire-un-investissement-durable-01-11_VN-201911010206.html
Le rapport Folz –extraits et commentaires
https://www.sfen.org/rgn/rapport-folz-tirer-lecons-epr-flamanville; https://www.vie-publique.fr/sites/default/files/rapport/pdf/271429.pdf;
« C’est en définitive au début de 1992
que les programmes convergent sur un projet commun ,l’EPR (European Pressurized
Reactor) , dont le Conceptual Design est une synthèse des choix technologiques
du N4 français et du Konvoi allemand et qui répond à des objectifs ambitieux de
sûreté et de rentabilité grâce à une disponibilité et une puissance accrues… Mais
en 1997 et 1998 interviennent des changements de majorités politiques amenant
au pouvoir des gouvernements l’un très réticent au développement de
l’énergie nucléaire en France , l’autre résolument hostile à celle-ci en
Allemagne . Dans ce nouveau contexte l’étape d’entrée
dans une phase de réalisation n’est pas franchie mais des études complémentaires
dites d’optimisation sont engagées pour réduire le coût du projet ; une
nouvelle version du Basic Design est ainsi remise en 1999 à l’autorité de
sûreté française, l’autorité allemande
s’étant entre-temps retirée compte tenu des choix politiques intervenus. »
Commentaire : dès le
berceau, l’EPR a été victime de la
démagogie de Mme Merkel qui a sacrifié le nucléaire allemand et la lutte
contre le dérèglement climatique à une alliance électoraliste avec les Verts et
de la lâcheté et des tergiversations des
gouvernants français – la technique de l’étrangleur ottoman : reporter
sous n’importe quel prétexte les décisions afin que, à force de non- décision,
les capacités nucléaires de la France disparaissent. Ca a failli réussir….
« Une kyrielle d’événements négatifs »…
« Les prévisions d’octobre 2019 correspondent ainsi à un considérable
recul de la date de mise en service industrielle , passée de quatre ans et demi
à plus de quinze ans après le 1er béton et à plus d’un triplement en Euros
courants du coût de l’EPR de Flamanville . » «décembre 2007, mai 2008
: fissuration du béton du radier due à une mauvaise définition des hauteurs de
bétonnage , puis absence - constatée tardivement par les contrôles - d’épingles
de liaisonnement dans le ferraillage, 2008 , 2009 : critères initiaux de
planéité du radier et du liner (peau métallique intérieure) non satisfaits
(spécifications initiales techniquement non atteignables) puis difficultés de
soudage des tuyauteries traversant le liner… janvier 2011: accident mortel entraînant un arrêt de 2
mois ; les nouvelles règles instaurées pour la gestion des co-activités sur le
chantier…- 2012 : difficultés de qualification des soupapes du pressuriseur ;
ces soupapes fabriquées par un fournisseur allemand et issues de la technologie
du réacteur Konvoi s’avèrent très difficiles à qualifier aux conditions
normales et accidentelles selon les règles françaises…2014 : constat de
ségrégation carbone excessives dans les fonds bombés de la cuve du réacteur, 2015 : découverte à la suite d’inspections de
nombreux manquements dans la fabrication et le contrôle de qualité de pièces
forgées au Creusot ; - début 2017 : annonce de la non-atteinte des
exigences de haute qualité attendue sur dessoudures réalisées entre 2013 et
2016 sur des tuyaux du circuit secondaire principal.
Commentaire :bon, tout ça,
tout le monde en a abondamment parlé. Les responsabilités sont partagées,
certaines exigences des autorités de sureté ont été augmentées après Fukushima ;
très bien, mais ça facilite pas les choses. Quand même un beau plantage d’EDF
et d’Areva ! Car la stratégie des
étrangleurs ottomans du nucléaire français a bien fonctionné : Que se
serait-il passé si l’entreprise STX, l’un des plus grands constructeurs
mondiaux de paquebots de croisière ne construisait pas de nouveaux navires
durant plus de dix ans? Elle perdait
ses capacités d’architecte industriel !Comme l’ont perdu les Anglais qui
sont maintenant dépendant d’EDF et des Chinois pour leur nouveau nucléaire…
« Un projet exceptionnel par sa taille
et sa complexité » : « Si elles ont été à l’évidence méconnues au
moment du lancement , la taille et la complexité de l’EPR n’en constituent pas
moins un défi considérable . Il faut rappeler que les concepteurs de l’EPR
avaient pour objectifs d’améliorer sensiblement les performances des derniers
réacteurs français (N4) et allemands (Konvoi) , tant en termes de sûreté , avec
la division par 10 de la probabilité d’un accident majeur , la rétention du corium
dans l’enceinte de confinement en cas de fusion du réacteur , la résistance au
choc d’avion ,… qu’en termes de rentabilité avec l’augmentation de la puissance
et de la maintenabilité du réacteur , la durée de vie prévue à 60 ans . Pour
atteindre ces objectifs de nombreuses évolutions sont décidées ; citons par
exemple le confinement de la chaudière nucléaire réalisé par une double enceinte
, la première en béton précontraint doublée d’une peau métallique (ce « liner »
n’existe pas dans le N4) , la seconde en béton armé très largement renforcé par
rapport aux réalisations précédentes ; le dispositif « core catcher » de récupération
du corium est une complète nouveauté ; les systèmes de sûreté sont doublés avec
4 trains indépendants au lieu de 2 ; le dispositif « two rooms » qui doit
permettre certaines interventions de maintenance avec réacteur en
marche… » « Quelques chiffres suffisent à illustrer la taille et la
complexité de l’EPR : 400 000 tonnes de béton (1,8 fois plus que pour le N4),
47 000 tonnes d’armatures, un radier de 4 mètres d’épaisseur, des taux de
ferraillage dépassant 500 kg/m³ dans certaines zones , plus de 1000 salles dans
l’ensemble des bâtiments, 150 km de tuyauteries pour le seul îlot nucléaire,
environ 15 000 vannes, 4000 km de câbles , 8000 capteurs d’instrumentation ,
300 armoires de contrôle-commande... »
Commentaire : Eh puis,
l’EPR est un réacteur unique par ses caractéristiques de sécurité, de
puissance, d’intensité énergétique. L’EPR a une puissance inégalée de 1 750 MW
(900MW pour les réacteurs de Fessenheim ; 3 MW pour une éolienne, mais avec un
facteur de charge de 20% contre 80% pour le nuc ; donc un EPR, un seul EPR, mesdames et mrs, à
la louche c’est 2400 éoliennes, soit à peu près, avec un espacement minimal
irréaliste, une double rangée d’éoliennes tout le long de la côte
méditerranéenne. L’EPR permet un gain de l’ordre de 20 % sur la consommation
d’uranium naturel par kWh électrique produit. C’est la conséquence de l’effet
gros cœur et de la présence d’un réflecteur lourd en acier. Pour plus de détail, cf.
« Une gouvernance
de projet inappropriée » :
« Ce n’est qu’en 2015 qu’un véritable directeur de projet à temps plein
est désigné et placé hiérarchiquement en N-2 par rapport au président directeur
général , alors que certains de ses prédécesseurs étaient en N-3 , voire N-4 »…
« Des équipes de projet à la
peine » : « La gestion des délais est une bonne
illustration des difficultés d’équipes mal outillées pour maîtriser la cascade
– en effet exceptionnelle – de difficultés imprévues qui ont émaillé la
construction de l’EPR. Sans doute soumis
à une forte pression hiérarchique et médiatique, les responsables du projet ont
longtemps été dans le déni puis n’ont pu que repousser au rythme des mauvaises
nouvelles la date espérée de mise en service tout en s’efforçant toujours de
minimiser le retard annoncé. Pour ce faire , et pour avancer coûte que
coûte , la direction du projet a été progressivement conduite à ne plus gérer
que par un planning en permanente modification , entreprenant montages et
essais locaux au fur et à mesure qu’apparaissait une opportunité, au risque
d’affecter la cohérence et la bonne organisation du chantier »
Commentaire : C’est
poliment dit, mais clairement. Un projet
sans arrêt menacé, pas d’engagement
ferme du politique, par ignorance, lâcheté ou démagogie, un refus d’assumer
clairement un renouvellement nucléaire pourtant indispensable à la lutte contre
le dérèglement climatique, des décisions sans cesse retardées, des
investissement menacés, la pression médiatique intense des adversaires
idéologiques et rétrogrades du nucléaire grassement subventionnés, voilà une
belle recette pour un beau loupé.
« Des relations insatisfaisantes avec les
entreprises Un projet de l’ampleur et de la complexité de l’EPR de Flamanville
aurait nécessité une collaboration confiante , encadrée bien entendu par des
contrats solides , entre le maître d’oeuvre et les entreprises appelées à
fournir des matériels ou des équipements et à intervenir sur le chantier ; cela
n’a pas été le cas général . Afin de s’affranchir des sujétions du suivi direct
d’un trop grand nombre d’intervenants (plus de 500 pour les centrales du palier
N4) le nombre de contrats passés par EDF a été volontairement limité à environ
150 ; dans ce but l’allotissement a donné une place importante à quelques grands
intervenants, les huit principaux contrats représentant plus de 70 % du total. Ces
grands intervenants se sont vus confier des lots importants impliquant de
nombreuses sous-traitances, avec les charges et les responsabilités correspondantes
de maîtrise d’œuvre déléguée.
Commentaire : ben,
cette cascade de sous-traitance, entre des sociétés qui se connaissent mal et
n’ont plus l’habitude de travailler ensemble, c’est ce qui se passe quand on a
le nucléaire honteux et qu’on fait trainer par lâcheté, démagogie et
incompétence les décisions nécessaires.
« Une
mention particulière doit être faite des relations difficiles avec la société Areva NP, redevenue Framatome
début 2018 lorsqu’EDF en prend le contrôle à 75 % au terme d’un processus
engagé en 2015. Areva NP s’est longtemps positionnée comme un rival d’EDF sur
les marchés internationaux, avec les dissensions que cela entraînait entre
leurs dirigeants, tout en étant simultanément son partenaire principal pour
le développement de l’EPR . Alors qu’Areva NP , chargée de la totalité des
études et de l’ingénierie de la chaudière nucléaire, était étroitement associée
à EDF dans le cadre de la filiale commune Sofinel pour la conception de tout le
reste de l’îlot nucléaire , la collaboration entre les deux entreprises n’a
clairement pas été assez étroite ainsi qu’en témoigne par exemple le faible
retour d’expérience du chantier d’Olkiluoto au profit de celui de Flamanville ,
pourtant démarré plus de deux ans plus tard .
Commentaire : Eh oui,
c’était l’époque où EDF et Areva se tiraient la bourre pour construire un
réacteur aux Emirats Arabes Unis,..Areva partant seul sans avoir mais construit
un réacteur, et appelant EDF au secours au dernier moment, avant de perdre le
marché. Et voilà encore une
responsabilité purement politique, un délire complet des dogmes ultra-libéraux
de la concurrence amplifié par l’ego particulier et les relations politiques de
certains dirigeants-es.
Les EPR de Taishan « Avant
de conclure ce rapport sur les difficultés rencontrées à Flamanville , il n’est
pas inutile de se pencher sur les meilleures performance du chantier de Taishan
. Les deux EPR qui sont aujourd’hui en fonctionnement industriel normal - le
premier depuis près d’un an - ont été construits en 110 et 113 mois , soit un
dépassement de 5 ans du délai initialement annoncé , pour un coût d’environ 95
milliards de RMB , soit 60 % de plus que le budget prévu. Plusieurs explications peuvent être avancées à cette performance
relative .
En
premier lieu, il convient de constater que la construction des EPR de Taishan a
démarré (1er béton) en octobre 2009 , soit 4 ans après Olkiluoto et près de deux
ans après Flamanville , et a donc pu
bénéficier pendant plusieurs années de l’avancement des études et du retour
d’expérience des chantiers finlandais et français , ce qui a sans doute
permis d’éviter quelques-uns des lourds incidents qui ont émaillé les premières
phases de ces derniers . A l’inverse, l’avance prise ensuite par Taishan a
permis au chantier de Flamanville de profiter des expériences chinoises ,
notamment des enseignements tirés des phases d’essais.
La construction simultanée de deux tranches
sur le même site a d’autre part été un véritable atout , confirmant ainsi les
acquis de l’expérience d’EDF. En sus des économies apportées par l’utilisation
des mêmes moyens de chantier et des avantages du retour continu d’expérience
pour la deuxième tranche , celle-ci sert en quelque sorte de magasin de pièces
de rechange pour faire face sans délai aux aléas inévitablement rencontrés dans
la période des montages électro-mécaniques de la première tranche et rattrape
ensuite son retard en tirant pleinement profit des enseignements des essais
conduits sur sa voisine » .
Conclusion : « La
construction de l’EPR de Flamanville aura accumulé tant de surcoûts et de
délais qu’elle ne peut être considérée que comme un échec pour EDF ; mais les principales raisons de cet échec
sont bien identifiables et permettent de formuler quelques recommandations
.
En
tout premier lieu , il faut constater que la
mise en service industrielle et le bon fonctionnement des réacteurs de Taishan
ont apporté la preuve de la pertinence du concept et du design de l’EPR , qu’il faut certainement éviter de remettre
substantiellement en cause. Cela n’interdit bien entendu pas des
améliorations permettant d’en améliorer la constructibilité et d’en réduire le
coût, mais des modifications trop importantes ne pourraient qu’aboutir à la
perte de l’expérience si chèrement acquise et le retour aux affres d’une tête
de série.
Les
déboires récents du chantier de Flamanville , qui ne sont certainement pas tous
imputables à l’équipe de direction de projet actuellement en place , ne
sauraient dissimuler les progrès
observés au cours des récentes années et doivent conforter, et amplifier, les
derniers choix d’organisation faits par EDF : la mise en place d’une équipe de projet puissante , disposant de moyens
propres importants et d’effectifs pérennes, clairement indépendante des
entités d’études et d’ingénierie auxquelles elle fait appel à son initiative ,
recourant aux techniques les plus modernes de gestion de projet et relevant
d’une supervision hiérarchique de haut niveau , est indispensable à la réussite
d’opérations aussi complexes que la construction d’un EPR .
L’entrée de Framatome dans le groupe EDF doit
permettre, après la création de la filiale commune Edvance, de rationaliser et
de simplifier plus avant l’organisation des ressources scientifiques
et techniques dans les projets nucléaires. Par ailleurs, aux côtés des
importantes compétences de conception, d’étude et d’ingénierie ainsi réunies ,
il faut aussi veiller à disposer de bureaux d’études techniques efficaces
capables d’émettre des spécifications réalistes et pertinentes .
La
litanie des défauts affectant des composants de la chaudière nucléaire –
pratiquement aucun n’en aura été exempté - montre la nécessité d’une profonde
remise à niveau des capacités industrielles et des ressources humaines dans les
établissements industriels de Framatome ; celle-ci a été engagée, elle doit être
menée activement à son terme. Une
attention particulière doit être apportée aux métiers du soudage : des efforts
considérables de formation initiale et d’entretien des compétences devront être
entrepris pour que se reconstitue une réserve de professionnels qualifiés
dans cette discipline très exigeante ; si plusieurs branches industrielles sont
concernées, EDF a manifestement un rôle d’entraînement à jouer .
Sur
un plan plus général , les innombrables vicissitudes qui ont perturbé le déroulement
de la construction de l’EPR de Flamanville ont bien montré que la
multiplication, pourtant avérée, des contrôles à tous les niveaux ne suffisait
pas à garantir la qualité des réalisations . C’est pourtant bien cette exigence de qualité à toutes les étapes du
processus , depuis les études de conception jusqu’aux spécifications techniques
de détail , depuis les opérations lourdes de fabrication jusqu’au dernier geste
du soudeur , qui fera le succès des chantiers futurs .
Le
développement ou le renouveau d’une culture de qualité , vécue tant comme une
obligation collective qu’une ambition individuelle , est aujourd’hui une nécessité
absolue pour toutes les entreprises concernées et EDF se doit d’en montrer l’
exemple .
Enfin
force est de constater que c’est une bonne part du tissu industriel de la «
filière nucléaire » qui a montré de réelles insuffisances au cours de la
construction de l’EPR de Flamanville, et un effort de reconstitution et de
maintien de ses compétences doit être engagé ; celui-ci doit faire l’objet
d’une véritable politique industrielle que seul peut conduire le groupe EDF.
Il s’agit
concrètement d’afficher des programmes stables à long terme de construction de
nouveaux réacteurs en France et d’entretien du parc existant qui donnent aux
entreprises concernées la visibilité et la confiance nécessaires pour qu’elles
engagent les efforts d’investissement et de recrutement indispensables ."
Commentaire : Eh bien voilà, 8, 10, 12
EPR, on y va ! Mais pourquoi la presse s’est-elle beaucoup
plus étalée sur la litanie des problèmes passés que sur les conclusions optimistes,
favorables et étayées du rapport Foltz.
Parce
que l’alliance du nuclear bashing des verts rétrogrades et des intérêts louches
des margoulins de l‘éolien et leurs complices gaziers ?
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